Jusqu’à 24% de la population touchée et « seulement » 312 décès. Le premier bilan de l’épidémie de grippe A (H1N1) que dresse le BEH du 29 Juin, confirme la bénignité de l’épidémie observée en France l’hiver dernier. Mais, si « l’épidémie a été peu grave pour le plus grand nombre, elle a été plus sévère pour une partie des malades, en comparaison de la grippe saisonnière, et a touché une population beaucoup plus jeune » souligne Françoise Weber, directrice générale de l’InVS. Toujours est-il, que l’impact de l’épidémie est resté très en deça des projections initiales. Pour l’InVS, plusieurs éléments peuvent expliquer ce décalage, parmi lesquels l’immunité préexistante d’une partie non négligeable de la population, la stabilité du virus, la fréquence des formes asymptomatiques contribuant à l’immunité collective et l’efficacité des antiviraux et du système de soin.
Grippe A : pourquoi les experts se sont trompés
Publié le 02/07/2010
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Crédit photo : ©AMI IMAGES/SPL/PHANIE
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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