Sans préavis, ce billet s’est mis en grève… illimitée. Pourquoi ce mouvement d’humeur alors qu’il en use et abuse ? Comme les notaires ou les huissiers de justice, jusqu’à aujourd’hui, il ne souffrait pas de la concurrence. Mais cet exercice libéral se paie au prix fort. Strictement encadré par une réglementation tatillonne, il est seulement riche de ses 1200 signes. Et à l’usage, il est tout contrit par ce format dérisoire. Pour autant, hébergé dans une pleine colonne, réhaussé d’une photo, il nargue les brèves, ces low-costs de l’info placées tout près de lui. Comment alors résister au souffle de la dérégulation ? On a donc demandé à ce billet de contribuer à l’effort. Il doit redistribuer des mots à ces collègues de la page bien moins lotis, toujours anonymes qui revendiquent en silence davantage de visibilité. Mais pourquoi ne demande-t-on pas de sacrifices aux vrais privilégiés, le dossier ou l’entretien d’Ailleurs et Ici ? Pourquoi s’attaquer une nouvelle fois aux classes moyennes ? Problème, ce pauvre billet ne pèse d’aucun poids (lourd) dans ces pages. Faudrait-il nouer une alliance avec les pilotes d’Air France ? Je vous fiche mon billet qu’il sera de retour dans le prochain numéro…
Grève
Publié le 30/10/2014
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Décision Santé: 298
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature