Pour attirer l'attention sur l'omniprésence de produits toxiques dans l'environnement domestique, Greenpeace va passer l'aspirateur dans 50 foyers volontaires, à Lille, Lyon, Nantes, Paris et Toulouse. Les poussières récoltées seront ensuite analysées dans les laboratoires européens spécialisés dans la recherche de substances organiques traces. L'opération s'appelle « Dépoussiérons l'industrie chimique » et vise cinq familles principales de composés qui peuvent être dangereux pour l'homme et l'environnement : les alkyphénols (détergents, textiles, peintures, cosmétiques), les retardateurs de flamme au brome (textiles, produits électriques et électroniques), les composés organoétains (traitements antiacariens et antimoisissures), les esters de phtalates (produits en PVC flexible) et les paraffines chlorées à chaîne courte (plastiques, caoutchoucs, peintures). Pour Greenpeace, la plupart de ces substances peuvent être remplacées par d'autres substances moins nocives.
Greenpeace analyse les poussières domestiques
Publié le 14/05/2003
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7334
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature