Selon une étude BVA, en moyenne, les médecins généralistes utiliseraient la mention "non substituable" pour 22% de leurs prescriptions. Ce taux sera plus élevé quand le prescripteur dépasse les 55 ans et croît avec l’importance de la patientèle. "En 2011, l'usage abusif et non justifié de la mention +non substituable+ aura coûté près de 180 millions d'euros à l'assurance maladie et 80 millions d'euros supplémentaires à l'assurance maladie complémentaire", affirme le Gemme ("Générique, même médicament"), association qui regroupe les industriels du générique et qui a commandé ce sondage. L'association souligne qu'elle a "régulièrement alerté les pouvoirs publics et l'assurance maladie sur l'incidence élevée de la mention "NS" sur les ordonnances et les difficultés rencontrées par les pharmaciens pour substituer et réclame «des actions fortes pour encadrer les pratiques de prescription».
Génériques : une ordonnance sur cinq comporte la mention "NS"
Publié le 04/06/2012
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Enquête réalisée par BVA du 19 au 30 mars auprès de 200 médecins généralistes.
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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