CLASSIQUE
Après le succès remporté par sa soirée de gala au profit de la lutte contre le sida sur la même scène du Châtelet il y a deux ans, le chorégraphe français Angelin Preljocaj réunit des danseurs exceptionnels pour y danser son « Sacre du printemps ».
Beaucoup de chorégraphes se sont frottés au « Sacre du printemps » depuis qu'Igor Stravinski a composé cette sulfureuse partition en 1914 pour les Ballets russes de Serge de Diaghilev, scandale dont presque un siècle après résonne encore le Théâtre des Champs-Elysées. Les « Sacres » de Nijinsky, Maurice Béjart et, plus récemment, Pina Bausch ont marqué la danse contemporaine du XXe siècle. Celui d'Angelin Preljocaj, réglé pour douze danseurs, ouvre le XXIe avec beaucoup d'érotisme, parfois brutal, et un rien de misogynie, cependant.
C'est, après « Noces », « Parade » et « le Spectre de la rose », la quatrième pièce de l'univers des Ballets Russes qu'a créé Preljocaj, au printemps 2001, pour le Staatsoper de Berlin sur la proposition de Daniel Barenboïm.
Pour cette soirée exceptionnelle au profit d'AIDES, il a réuni les généreuses participations de danseurs étoiles du Ballet de l'Opéra de Paris : Elisabeth Platel, Aurélie Dupont, Laurent Hilaire, et du sujet Yann Saïz. Les chorégraphes Régine Chopinot, Elu et Steven Cohen, Alain Buffard, ainsi que le musicien Ravi Prasa, participeront gracieusement aussi à cette reprise d'une des pièces les plus fortes du répertoire d'Angelin Preljocaj.
<*L>Châtelet (01.40.28.28.40). Site Internet : www.chatelet.com/presse.htm???????, le 18 mars à 20 h. Prix des places : de 15 à 45 euros.
Photo N&B papier : chez vous et Photos disponibles sur le site du Châtelet :
Attachée de Presse : Magali Folléa : mfollea@chatelet-theatre.com
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature