Les analyses toxicologiques effectuées sur le corps d’un nonagénaire qui prenait du Furosémide après son décès le 8 juin à Marseille, n’ont pas révélé la présence de somnifère Zopiclone, « alors que du Furosémide a bien été identifié », a indiqué ce mercredi le procureur du parquet de Marseille.
L’homme, âgé de 91 ans, était mort le 8 juin des suites d’un œdème pulmonaire aigu. Il était suspecté de faire partie des patients s’étant vu délivrer des boîtes de Furosémide du laboratoire Teva dans lesquels des comprimés de Zopiclone auraient été introduits.
Mardi, le parquet de Toulon avait fait savoir qu’aucune trace de ce somnifère n’avait été décelée chez un autre patient décédé, et qui prenait également du Furosémide.
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