Pour sa première pièce, Emmanuelle Bataille choisit une anti-héroïne hors normes. Josiette est une femme « simplette », qui vampirise sa fille, brillante trentenaire. Les rapports entre ces deux personnages qui doivent s’apprivoiser sont traités avec un humour décapant. En Josiette , cette « scoumoune ambulante », Marie-France Santon fait une composition surprenante : robe à fleurs et collants roses, elle émeut, exaspère, fait rire. La fine Aurélie Bargème incarne la fille affolée par cette mère qui lui fait honte, tandis que Marie-Christine Danède est une touchante copine de dèche. Incarnant le « référent » de Josiette, Régis Santon signe une mise en scène vivante et réaliste.
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