7 500 étudiants devraient être admis en seconde année de médecine en 2014. Pour la troisième année consécutive, le numerus clausus devrait donc rester stable.
Les uns considèrent que ce quota fixé par le gouvernement est garant d'une qualité d'enseignement. D'autres estiment qu'il ne permet plus de réguler le nombre des professionnels en exercice, notamment parce que de nombreux jeunes poursuivent leurs études à l'étranger. La réciprocité des diplômes entre les pays de l'Union européenne a contribué à faire sauter le verrou du numerus clausus. Plus que jamais, la question de son existence est posée alors que la lutte contre la désertification médicale est l'une des priorités gouvernementales.
Le numerus clausus est-il garant d'une formation de qualité ? Doit-on l'augmenter ? Faut-il le supprimer ? Par quoi le remplacer ?
À vous de débattre...
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature