À la suite d’une tribune publiée à l’initiative d’un confrère dans un quotidien généraliste, les passions se déchaînent sur un sujet très particulier : la pratique de médecines alternatives (homéopathie, acupuncture…).
Certains souhaitent que ces pratiques ne soient plus acceptées par nos organismes sociaux.
Au-delà d’une polémique concernant l’exercice de certains confrères dans ce domaine, force est de constater que nombreuses sont les personnes qui exercent des professions très particulières (naturopathes, oligothérapeutes, psychanalystes…).
Il est facile pour eux de visser une plaque sur leur façade faisant état de leur "qualification" ; ce sésame leur donnant une pseudo-reconnaissance sans qu’il ne nous fournisse de réelles preuves de quelconque qualification.
Ne serait-il pas plus utile de contrôler et de mieux réglementer ces faux professionnels de santé plutôt que de tirer à boulets rouges sur des confrères qui peuvent nous aider en prenant en charge certains patients "difficiles" ?
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