@ « J'aimerais faire cardio à Toulouse, mais je ne sais pas si je vais tenir le coup : pas de repos de sécurité, tu travailles normalement le lendemain comme si tu avais dormi 8 heures la veille, alors que tu as passé la nuit aux urgences. Sincèrement, je ne vois pas l’intérêt, ni pour l’interne qui est complètement HS ni pour le patient qui risque de subir les conséquences de ce manque de vigilance. »
@ « Cela me fait peur aussi l’internat sur ce point : comment fais-tu quand tu arrives tout jeune tout frais, tu ne sais rien faire, et tu dis à ton chef : « ah au fait je suis de garde ce soir, alors à après-demain ! »? Franchement, en pratique, peu refusent de rester le lendemain matin, et je pense même que beaucoup le font, sans même que les chefs aient à dire quelque chose. »
@ « Je récupère toutes mes gardes, sauf s’il n’y a pas assez de co-internes pour assurer le service minimum bloc + service (ce qui est rarement le cas pour moi ce semestre, heureusement). J’ai testé une fois la garde du vendredi + week-end d'astreinte, et j'étais contente que le lundi matin arrive pour pouvoir me reposer au bloc. »
@ « Il n’y a pas de règle, et ce n’est pas toujours facile d’imposer ses droits. »
@ « Apparemment, certains chefs de service n’ont pas lu l’article qui évaluait à 40 % le taux d’erreur de prescriptions à partir de 36 heures de garde... »
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