Les résultats de l’étude menée par l’URML d’Ile-de-France ont mis en évidence un profil de médecin plus particulièrement menacé : il s’agirait d’un médecin généraliste célibataire, entre 45 et 50 ans, exerçant en secteur 1, effectuant des visites à domicile, consultant sans rendez-vous et dont l’activité serait supérieure à 6 000 actes par an. S’y ajouteraient des facteurs de risques comme le fait de rencontrer des difficultés financières, de se sentir fragile psychologiquement, de ne pas s’accomplir dans son métier et de présenter des problèmes de santé ou d’ordre affectif.
Comprendre et prévenir le burn out
Existe-t-il un profil à risque ?
Publié le 02/04/2012
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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