Dans la mesure où la production alimentaire a un impact négatif sur le changement climatique, les personnes qui mangent peu sont moins néfastes pour l’environnement qu’une population dont le taux d’obèses s’élève à 40 %. Une étude londonienne parue dans International Journal of Epidemiology accrédite cette hypothèse en montrant un parallélisme entre l’indice de masse corporelle et l’émission de gaz à effet de serre. Ils ont comparé deux modèles de populations, l’une ayant un taux d’obèse de 3,5 % et l’autre une prévalence d’obésité de 40 %. Résultat : un surcroît de dépense énergétique de 19 % et un recours plus massif aux transports polluants pour la population en surpoids. « Nous devons faire plus pour infléchir la tendance globale au surpoids et la reconnaître comme un facteur-clé dans la bataille de la réduction des gaz à effet de serre et du changement climatique » concluent les Drs Phil Edwards et Ian Roberts.
Etre mince, c’est écolo
Publié le 24/04/2009
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Crédit photo : ©PHANIE
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Source : Le Généraliste: 2487
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