57% des généralistes se sentent démunis face à une personne présentant des signes de dépendance à l'alcool. C'est le résultat d'une enquête publiée par « le Quotidien » et réalisée par l'institut de sondage Ipsos. Les spécialistes se sentent à peine mieux armés contre ce fléau : ils sont 46% à se sentir pris au dépourvu.
Pourquoi un tel désarroi ? Les médecins invoquent la formation en addictologie (76% des généralistes, 60% des spécialistes) et le manque d'efficacité des médicaments (55% des généralistes, 61% des spécialistes). Ils attendent donc des progrès dans ces deux domaines. Les praticiens comptent également sur les réunions entre confrères pour mieux appréhender le problème de l'alcoolodépendance.
Vous sentez-vous démuni face à l'alcoolodépendance ? Comment traitez-vous cette pathologie ? Quelles solutions pour améliorer la prise en charge par les médecins ?
À vous de débattre...
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