GRÂCE À ELLE, Fiat a retrouvé le sourire. En attendant la version sac à dos (petit break), la 500 enlève le haut. Avec sa capote en toile dépliable électriquement en 25 secondes, depuis l’habitacle ou via la télécommande, elle est encore plus glamour.
À l’inverse de la C3, dont les arches sont démontables, celles de la 500 C restent fixes. Plus de problème de stockage. Mieux, on peut ouvrir la capote jusqu’au spoiler. Mignonne, la 500 est aussi maligne. Son système d’ouverture de coffre en trapèze permet de maintenir le volet vers le haut et de préserver le volume : 183 l, soit deux de moins que sur la berline.
À l’intérieur, pas d’évolution. La déco est la même, la planche de bord également. Pourquoi changer, d’ailleurs ? En revanche, en termes de comportement routier et de confort, la petite Italienne hausse le ton. Une barre antiroulis à l’arrière ainsi qu’un réglage plus souple des ressorts et des amortisseurs préservent désormais notre dos. Merci pour lui.
En sus, la 500 C se décline en version, 1,2 l « Start and Stop » (coupure du moteur à l’arrêt), ce qui permet de descendre à 113 g de CO2 (110 g avec la boîte robotisée Dualogic). D’où une éligibilité au bonus (700 euros). Dernier détail, toutes les versions disposent d’un radar de recul. Pratique, car, capote baissée, la visibilité arrière n’est pas fameuse.
Trois teintes inédites (rouge, beige et noir) s’ajoutent à celles existantes. Au total, 29 combinaisons de couleurs carrosserie et capote sont possibles. Trois finitions (Pop, Lounge, Rock) et trois motorisations (1.2 l 69 cv, 1.4 l 100 cv, 1.3 l Multijet diesel FAP 75 cv) boîte mécanique 5 ou Dualogic figurent au menu.
Seul hic, les prix, supérieurs de 2 500 euros à ceux de la berline. : de 14 200 à 20 500 euros pour la 500 cabriolet essence, de 16 000 à 19 700 euros pour la version Diesel.
› JACQUES FRENE
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