La troisième tentative était donc la bonne ; elle s’est, selon ses organisateurs, déroulée dans le calme et sans incident. Même si, pour marquer sa désapprobation vis-à-vis des couacs du mercredi 1er juin, l’Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF) avait distribué à tous les candidats des T-shirts dénonçant la mauvaise organisation des opérations.
Au centre d’examen de la région parisienne, à Villepinte, il n’y avait pas de dispositif particulier pour garantir le bon déroulement de cette 3e LCA (pas de vigiles supplémentaire, par exemple) si ce n’est… des médecins en surnombre, afin de pouvoir faire face aux malaises de candidats particulièrement éprouvés.
Les étudiants, qui attendaient des excuses des organisateurs à l’intérieur du centre d’examen, en ont été pour leurs frais : le président du jury les a simplement remerciés de leur présence. Quant aux téléphones portables (à l’origine de fuites des sujets de secours lors de la seconde tentative du 1er juin), ils ont dû être déposés par les candidats dans des enveloppes scellées au début de l’épreuve.
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