Pour quitter l’armée de réserve par anticipation, le réalisateur israélien, Ari Folman, a du, au cours d’une dizaine de séances avec un psychologue, raconter son expérience lors de la première guerre du Liban. C’est ainsi qu’il a découvert des « trous noirs » de certains événements dans sa mémoire. Comme les massacres de Sabra et Chatila auxquels il assista. Il avait alors 19 ans. C’est pour raconter son histoire et combler ces trous qu’il a réalisé « Valse avec Bachir », en inventant le premier documentaire d’animation. « L’animation était le seul moyen de raconter cette histoire mêlant surréalisme, hallucinations, rêves, mémoires, souvenirs enfouis », explique Ari Folman. Palme d’or à Cannes l’année dernière, le film a connu un très grand succès public. Et c’est justice, car « Valse avec Bachir » est une merveille d’intelligence, de sensibilité, de beauté et d’humanité.
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Publié le 06/03/2009
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Crédit photo : ©DR
« Valse avec Bachir », éditions Montparnasse.25 euros
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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