Moto
Elles ne sont pas nombreuses à laisser un souvenir impérissable. Elles sont en général hypersport. En s'approchant d'une des (de la ?) plus belles machines du monde on se prépare à vivre des moments forts.
La Ducati 996S est petite et fine comme une 250. En appui sur les poignets, la visière du casque quasi à l'aplomb du bloc compteur, l'italienne semble d'une incroyable légèreté. Mais en ville les premiers kilomètres sont éprouvants. Cette Ducati, n'est pas une citadine. Elle toussote à bas régime et use son pilote. Vite la route.
C'est ici que s'enregistrent les images, les sensations. Tout prend une autre dimension. Les montées en régimes pour se maintenir au delà de 5-6000 tours. Conduite sportive impérative ! La 996 est conçue pour donner du plaisir, pour faire vibrer son pilote. Elle l'enchante dans tout son répertoire.
Que ce soit par son rugissement dès que l'aiguille du compte-tours rosit, par ses accélérations de F1, suivies de freinages de même niveau ou par sa vitesse de passage en courbe. Tout arrive bien plus vite que d'habitude
Elle ravit aussi parce qu'elle ne se laisse pas faire. Une Ducati c'est physique. Il faut comprendre le mode d'utilisation du bicylindre. Apprendre à faire virer la machine. Mais une fois la bête dominée, on comprend les inconditionnels de la marque italienne. Ils ont adhéré à une philosophie tournée vers la sportivité, le caractère moteur et le pilotage sans concessions. La 996S en représente la quintescence l'esprit Ducati.
Une fois descendu de la selle, l'état de manque se fait sentir. Une seule idée vous hante... y retourner.
Quelques chiffres :
Bicylindre en L
996 cm3
Puissance : 106 cv à 9500 t/mn
198 kg
Hauteur de selle : 790 mm
Prix : 119 548 F (18 225 euros)
+
Caractère
Esthétique
Performances
-
La ville
prix
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature