Les aventures du commandant Cousteau, à bord de la Calypso, les images du « Grand Bleu » et autres films montrant la beauté de la flore et de la faune sous-marine font rêver. Le nombre de passionnés de plongée sous marine ne cesse de croître. En France, on avance le chiffre de 360 000 plongeurs dont 150 000 licenciés à la Fédération française d’études et de sports sous-marins (FFESSM), les autres se répartissant entre une structure internationale - Professional Association of Diving Instructors (PADI) - et d’autres comme Scuba Schools International (SSI). La plongée sous-marine, tout en n’étant pas un sport extrême, est soumise à des règles strictes de contre-indications médicales.
Un incident pulmonaire, ORL, cardiovasculaire, pourra être pris en charge parfois sans problème à l’air libre. Il n’en est pas de même sous l’eau.
Le respect des contre-indications est ici essentiel. Pour avoir le droit de plonger, le sportif doit présenter au club ou la structure commerciale intéressée, un certificat de non contre-indication à la plongée subaquatique de loisir.
Ce certificat est délivré selon le niveau de plongée soit par un médecin généraliste soit par un médecin fédéral reconnu par la FFESSM, soit par un médecin du sport ou un médecin titulaire du DU de médecine des sports subaquatiques ou de médecine hyperbare.
La liste des contre-indications peut être consultée sur le site de la FFESSM.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature