FAMILI
Février
À CHAQUE symptôme, ses granules et ses plantes. L’abécédaire présenté par « Famili » est destiné aux femmes enceintes. A comme angine ou anxiété. La première sera traitée par l’échinacée, une plante immunostimulante, de l’Aconit composé en 3CH (4 granules toutes les 30 minutes) ou des minéraux (cuivre, or et argent). Des tisanes de passiflore ou du Sepia 7CH (4 granules toutes les 15 minutes) sont conseillées en cas d’anxiété. Contre la bronchite (B), de la mauve, expectorant, du charme blanc contre la toux, de l’échinacée, du cassis ou du propolis qui renforce le système immunitaire.
En homéopathie et toujours pour les bronches, il convient de commencer par de l’Aconit composé (3CH), puis du Pyrogenium 5CH. La mélisse est efficace contre les brûlures d’estomac, tandis que le pissenlit soulage la constipation. L’ortie, la spiruline, l’argousier ou l’acérola aident à vaincre la fatigue. Les infusions de verveine odorante apaise les nausées. Pour l’homéopathie, Nux vomica ou Sepia (4 granules en 5CH, 2 ou 3 fois par jour) sont souvent utilisés. Mais «il est préférable de consulter pour bénéficier du traitement qui vous correspond le mieux», prévient le mensuel.
AVANTAGES
Février
De l’énergie venue de l’intestin
«UNE BONNE immunité n’est possible que si l’écosystème intestinal fonctionne correctement», peut-on lire dans « Avantages ». La flore bactérienne dresse une barrière efficace entre les bactéries pathogènes et nous. Des 400 espèces différentes qui la constituent, certaines fabriquent des vitamines B, essentielles pour l’énergie et le bien-être, tandis que d’autres jouent un rôle dans l’assimilation des vitamines et des minéraux.
En cas de déséquilibre, un manque d’énergie apparaît rapidement. «Fatigue, immunité faible, tendance à subir de petites infections de tous types capables d’épuiser et de laminer le moral de la plus optimiste d’entre nous: c’est peut-être le signe que votre intestin souffre», explique le magazine. La solution ? Les probiotiques. Et cela marche, affirme le Pr Schrezenmeir, du Centre fédéral de recherche en nutrition de Kiel, en Allemagne. Mais, attention, tous ne se valent pas. A chaque souche sa propriété : certaines aident à digérer, d’autres préviennent l’eczéma ou protègent la sphère génitale. Seules quelques-unes favorisent l’immunité à condition d’avoir des dosages suffisants.
PLEINE VIE
Février
Le retour de la soupe
« MANGE ta soupe si tu veux grandir. » Nos grand-mères avaient sans doute raison. La soupe fait son retour dans la rubrique « Nutrition » du mensuel « Pleine Vie ». Assortiment de nutriments indispensables – sels minéraux (potassium, magnésium, calcium, fer...), oligoéléments (cuivre, zinc, sélénium) – et de vitamines (C et B9), elle est bonne pour la santé. Grâce à ses antioxydants et ses caroténoïdes, elle participe à la prévention des maladies cardio-vasculaires et de certains cancers. Mais son gros avantage est qu’elle permet de consommer beaucoup de légumes sous forme liquide, ce qu’apprécient «les intestins qui supportent mal les crudités». De plus, on peut la déguster en toutes saisons (chaude ou froide), car elle est excellente pour compléter les apports hydriques. Autre avantage et non des moindres : elle s’accommode à toutes les situations : en version allégée pour la ligne, avec légumineuses ou féculents et viande pour les sportifs.
SCIENCES ET AVENIR
Février
Se soigner par l’oreille
DEUX FRANÇAIS sur trois y ont recours, affirme « Sciences et Avenir » dans un dossier spécial consacré aux médecines alternatives. Elles seraient «en passe d’être adoubées par la médecine dite conventionnelle». Aujourd’hui, une vingtaine d’établissements hospitaliers les proposent dans leurs centres antidouleur. A l’institut Gustave-Roussy, par exemple, le Dr David Alimi, neurophysiologiste et responsable de la consultation d’auriculothérapie, exerce sa spécialité depuis plus de vingt ans, avec des taux d’efficacité de 70 % là où la médecine est en échec. «L’oreille, c’est un peu le clavier du corps», explique-t-il. La technique, dérivée de l’acupuncture, est fondée sur la stimulation de certains points réflexes. Elle est destinée aux patients qui présentent des séquelles de chirurgie, de chimiothérapie ou de radiothérapie. «Soyons clairs, nous ne guérissons pas le cancer. Mais nous intervenons quand les traitements conventionnels ont atteint leurs limites», insiste le spécialiste.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature