A côté des auteurs contemporains, des écrivains du passé demeurent passionnants et efficaces dans le rire.
Honneur à Corneille, honneur à l’un des meilleurs spectacles que vous puissiez voir actuellement. Créée juste avant l’été, cette version de « l’Illusion comique » par Marion Bierry est un délice. Une distribution épatante, des prodiges de trouvailles de mise en scène et de jeu, les vertus de la jeunesse. A voir de toutes façons et à revoir en famille (Théâtre de Poche-Montparnasse, 01.45.48.92.97, à l’affiche).
Pour rire avec des classiques on peut également s’intéresser à Oscar Wilde : « l’Eventail de Lady Windermere », dans la traduction de Pierre Laville, avec notamment Geneviève Casile et Marie-France Santon, dans une mise en scène de Sébastien Azzopardi, devrait être un bon moment (Théâtre 14, 01.45.22.09.40, 12 septembre).
Autre Oscar Wilde à l’affiche, et là encore traduit par Pierre Laville qui, ici, signe également la mise en scène, « l’Importance d’être constant » avec Loránt Deutsch, Frédéric Diefenthal et la belle Macha Méril (Antoine, 01.42.08.77.71, 8 septembre).
Revenons au patron Molière avec « les Fourberies de Scapin », très bonne production donnée par une troupe de jeunes depuis l’orée de l’été, très bonne occasion de redécouvrir la comédie qui est drôle, mais amère aussi, si l’on réfléchit au rôle des pères... (Lucernaire, 01.45.44.57.34, à l’affiche).
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