Une équipe de l’Université de Yale (Stephen Waxman et coll.) a découvert que les dendrites sont capables de conserver « une mémoire de la douleur » et, de ce fait, participent aux douleurs neuropathiques du diabétique, intraitables et extrêmement pénibles. La piste des dendrites représente une source inattendue et surtout une cible potentielle de traitement, car les équipes ont identifié une molécule clef sur laquelle s’appuie cette mémoire de la douleur. Un seul neurone peut comporter des centaines de milliers de dendrites. Un médicament qui interfère avec la formation des dendrites réduit la douleur chez les modèles animaux de laboratoire.
« Journal of Neurosciences », 15 mai 2012.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature