L’affaire débute en 1999, lorsqu’un médecin salarié de l’association découvre que la récente informatisation des dossiers médicaux des travailleurs n’a été accompagnée d’aucune sécurisation des données, accessibles par tous en interne et sur Internet entre 2003 et 2006. Avec 16 autres médecins du travail, ils portent plainte en 2004 pour atteinte au secret professionnel médical et aux droits de la personne.
« Il n’y a jamais eu de la part de mes clients la moindre volonté de violer le secret médical, dont ils ne sont d’ailleurs pas les dépositaires, contrairement aux médecins », a déclaré Me Pierrette Mazza-Capdevielle, avocate de l’AHIRP et de M. Lemoine au quotidien « Ouest-France ».
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