Cargo mixte, dont l'activité première est de ravitailler les îles de l'archipel, « l'Aranui » embarque aussi des passagers, habitants locaux et touristes.
Chaque mois, au départ de Papeete, il parcourt durant quinze jours les quelque 1 500 km qui séparent les Marquises de Tahiti, cabotant d'île en île et déchargeant son fret au rythme des escales.
Depuis septembre 2002, les croisières s'effectuent à bord du tout nouveau « Aranui III », plus confortable que les deux précédents. Le navire, long de 118 m et large de 18 m, dispose de 85 cabines (10 suites, 12 cabines de luxe, 63 cabines standards) et, en classe C, d'un dortoir climatisé de 22 places. Ses équipements sont ceux d'un bateau de croisière : grand restaurant, bar ouvert sur le pont, grand salon avec bibliothèque et salle de vidéo, salles de réunion, espace forme solarium et piscine sur le pont principal.
Tous les vingt-trois jours, « l'Aranui III » quitte le port de Papeete en direction des Tuamotu, où il fait escale à Takapoto, à l'est de l'archipel, puis, après deux jours de navigation, le cargo atteint les Marquises, où sont prévues une quinzaine d'escales pour décharger le fret et découvrir les six îles habitées de l'archipel, Ua Pou, Nuku Hiva, Hiva Oa, Tahuata, Fatu Hiva et Ua Huka.
Ces visites sont accompagnées par des conférenciers, des historiens, des anthropologues et des archéologues spécialistes de la Polynésie et présents à bord.
Au retour à Papeete a lieu une dernière escale aux Tuamotu, cette fois sur l'atoll de Kakarava.
Au départ de Papeete, la Compagnie polynésienne de transport maritime propose des croisières de 15 jours pour 3 264 euros tout compris en cabine catégorie A (3 825 euros en cabine de luxe et 4 428 euros en suite) et une croisière exceptionnelle portant sur Jacques Brel aux Marquises accompagnée par Patrick Baton, professeur de direction d'orchestre au Conservatoire royal de musique de Liège et considéré comme l'un des meilleurs connaisseurs de l'œuvre du chanteur disparu. Prix : 3 263 euros Papeete/Papeete les 16 jours en pension complète, taxes incluses. Départ de Papeete le 25 mai 2005.
Au départ de Paris, Austral Lagons propose des croisières sur « l'Aranui III » avec des forfaits de 20 jours/17 nuits (dont 15 à bord) à partir de 8 311 euros Paris/Paris incluant les vols Paris/Papeete A/R en classe Affaire/Business sur Air Tahiti Nui, les transferts hôtels/port/aéroport, 2 nuits à l'hôtel Intercontinental Resort Tahiti en chambre double/petit déjeuner, la croisière de 16 jours/15 nuits en cabine A standard double en pension complète, toutes les excursions, les taxes, municipales, d'aéroport et portuaires, et les assurances. Austra Lagons propose aussi des forfaits de 13 jours/10 nuits (dont 7 à bord) à partir de 7 958 euros Paris/Paris en classe Affaire sur Air Tahiti Nui, incluant les transferts, 2 nuits à l'hôtel Intercontinental Resort Tahiti en chambre double/petit déj., les vols A/R Papeete/Nuku Hiva, 1 nuit au Keikahanui Pearl Lodge Nuku Hiva, 7 nuits à bord de « l'Aranui III » en cabine A standard double et pension complète, toutes les excursions, les taxes et les assurances (tarif valables à partir du 1er mai 2005).
Renseignements :
- Compagnie polynésienne de transport maritime, tél. (Paris) 01.43.31.25.34, www.aranui.com.
- Austral Lagons/Quotidien Voyages, 31, rue Bonaparte, 75006 Paris, tél. 01.53.63.84.40.
D'île en île à bord de « l'Aranui »
Publié le 02/03/2005
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés

1276215420F_Img211167.jpg
CHAMBAZ Jacques
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7700
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature