«J’ai voulu un disque sensuel et carrément érotique» confie Diana Krall. Dans le genre, rien de telle qu’une bossa nova languide. La chanteuse-pianiste retrouve ici Claus Ogerman, l’arrangeur des Sinatra, Getz, Evans, Brecker ou encore Jobim et Gilberto, ces monstres sacrés de la musique brésilienne, principale source d’inspiration de ce CD. Agréable musique de fond, Quiet Nights ne répond malheureusement pas toujours au but recherché et à ce que nous étions en droit d’attendre d’une si prestigieuse affiche. Trop monochrome, manquant de contrastes, l’ensemble dégage surtout une impression de déjà entendu et pêche par manque d’audace.
.Verve, distribution Universal Jazz.
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