« La capacité d'une seule molécule à restaurer totalement la masse osseuse et la microstructure à la fois dans l'os cortical et l'os trabéculaire est limitée et chez les patients à haut risque de fracture, des traitements séquentiels ou combinés comprenant un anabolisant osseux devraient être envisagés », soutient Serge Ferrari.
Ainsi de nombreuses études ont montré maintenant que passer d'un biphosphonate au denosumab augmente la DMO par rapport à la poursuite du BP seul. Si l'association alendronate/tériparatide n'apporte pas de bénéfice, la combinaison du tériparatide au zolédronate ou au denosumab ont montré nettement des effets additifs sur la DMO, particulièrement au niveau de la hanche, et une meilleure balance minérale osseuse qu'avec un seul traitement.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature