Deux portières avec des traces de sang, plus ou moins récentes, des mégots de cigarette avec de la salive, des préservatifs contenant un peu de sperme et des cheveux : ces éléments que l'on peut retrouver sur une scène de crime ont été immergés en eau douce (bassin de Caen) et en eau de mer (Ouistreham). La brigade de recherche du Calvados et l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale veulent ainsi étudier la dégradation des substances biologiques dans l'eau : ils vont faire des relevés au bout de six heures, puis de douze heures et jusqu'à douze semaines. « Ces tests vont nous permettre de connaître les limites des investigations et vont nous faire gagner un temps précieux », indique le Dr Frédérique Papin (unité de médecine légale du CHU de Caen).
Des tests pour évaluer la résistance dans l'eau des substances biologiques
Publié le 31/08/2003
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7372
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature