L’Américaine Erin Lavik (Case Western Reserve University) a présenté au Congrès de l’American Chemical Society) ses nouveaux travaux obtenus chez le rat avec des nanoparticules qui sont en quelque sorte des plaquettes de synthèse. L’objectif de ces polymères biodégradables est de traiter les hémorragies internes qui dépassent les capacités de l’organisme à stopper le saignement, comme on en voit chez les blessés graves, par exemple les victimes de guerre.
Les derniers travaux de l’équipe ont été réalisés chez le rat de laboratoire chez qui est créée une lésion hépatique mortelle. Chez les rats qui reçoivent les nanoparticules, la survie à une heure est de 80 % ; elle n’est que de 47 % chez ceux qui reçoivent à la place un placebo.
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