Les neuf femmes kinésithérapeutes de l'hôpital d'Arles refusent d'effectuer des soins à la maison centrale de la ville et au centre de détention de Tarascon (Bouches-du-Rhône) pour des raisons de sécurité. En novembre, elles ont reçu de leur direction des lettres leur demandant d'assurer des permanences deux fois par semaine dans les deux prisons, pour l'une à partir du 1er décembre, pour l'autre à partir du 2 janvier. Jusqu'alors, ces permanences étaient confiées à deux hommes. « Le règlement pose que pour travailler en milieu carcéral, il faut être volontaire et nous ne le sommes pas », fait savoir une kinésithérapeute. Pour sa part, la centrale d'Arles indique qu'elle ne peut pas placer un gardien dans la salle de soins compte tenu du secret médical. Et à Tarascon, en décembre dernier, dans l'attente d'une solution, les actes de kinésithérapie ont été réalisés par un homme.
Des kinés refusent de se rendre dans les prisons
Publié le 06/01/2002
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7038
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