Pour Pierre-Louis Druais, c’est une consécration. D’abord parce que la titularisation des professeurs en médecine générale est un combat qu’il mène depuis son accession à la présidence du Collège national des généralistes enseignants (CNGE). Ensuite, parce que le chef de file du CNGE, a lui même été titularisé à la faculté de Versailles/Saint Quentin, en compagnie de neuf autres heureux élus, à Bordeaux (Bernard Gay), Caen (Jacques Luet), Lille-II (Raymond Glantenet), Lyon I (Jean-Pierre Dubois), Montpellier I (Gérard Bourrel), Paris V (Serge Gilberg), Paris VII (Michel Nougarède), Paris XII/Créteil (Claude Attali) et Toulouse III (Stéphane Oustric). Outre ces premiers titulaires, 11 professeurs associés en médecine générale ont aussi été renouvelés, 12 maîtres de conférence ont été promus professeurs associés et surtout la semaine dernière (Le Généraliste du 18/09), 24 généralistes enseignants ont été nommés maîtres de conférence associés. Cette rentrée est donc un excellent cru pour la filière de médecine générale. Le signe d’une prise de conscience des besoins au plus haut niveau. Et peut-être aussi aux 10% de crédits supplémentaires attribués aux universités cette année...
Assises nationales des hôpitaux locaux à La Tour du Pin (voir article en page XX). Jusqu’au 26.
Réunion commune de l'Académie nationale de médecine et de l'Académie royale du Maroc à Rabat
La Nouvelle Gouvernance en Santé, congrès de la Société française de santé publique
4e journée nationale des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin
5ème semaine nationale du rein, organisée par la FNAIR (Fédération nationale d'aide aux insuffisants rénaux). Jusqu’au 5.
Ce médecin et député (UMP) du Finistère n’a pas hésité à se jeter à l’eau pour porter secours à un homme qui avait tenté de mettre fin à ses jours en se jetant à Chateaulin dans le canal de Nantes à Brest.
Le poste de Défenseur des enfants, une autorité indépendante dédiée à la protection de l'enfance, qu’elle occupe depuis 2006, a été supprimé sans même que l’intéressée en ait été informée au préalable.
C’est le pourcentage de patients auprès desquels les praticiens du futur secteur optionnel pourraient être autorisés à dépasser les tarifs opposables, jusqu’à 50% de ceux-ci. Pour l’instant ce ne sont que des hypothèses de travail dans la négociation avec les caisses.
« Je n'imagine pas qu'un professionnel de santé puisse ne pas se faire vacciner, »
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En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature