Le ministère français de la Jeunesse et des Sports estime que la procédure de détection de l'EPO (érythropoïtéine), retenue par le Comité international olympique (CIO) pour les jeux d'hiver de Salt Lake City (Etats-Unis), en février prochain, paraît « relativement lourde et complexe ». Dans un communiqué, le ministère indique que ce test sera « difficilement applicable hors de très grandes manifestations internationales ».
Selon le CIO, la positivité à l'EPO devra être déclarée à la fois dans un test sanguin et dans un test urinaire.
Si elle se félicite de l'adoption d'un test combiné sang-urine, l'Agence mondiale antidopage (AMA) pense aussi qu'il faut trouver une procédure « moins lourde à mettre en uvre » et va financer une recherche dans ce sens.
Par ailleurs, les ministres des Sports des Quinze ont rappelé leur volonté de lutter « efficacement » contre le dopage. Un plan d'harmonisation des règlements pour lutter contre le dopage à l'intérieur même de l'Europe devrait être présenté au printemps prochain.
Dépistage de l'EPO : la France veut simplifier
Publié le 14/11/2001
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 7010
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature