On sait poser le diagnostic de diabète de type 1 chez l’adulte de plus en plus souvent grâce au dosage d’anticorps spécifiques (anti-îlot (ICA), anti-insuline (IAA), anti-décarboxylase de l'acide glutamique (GAD) et anti-tyrosine phosphatase membranaire (IA2)), ce qui permet de lier l’apparition d’un diabète à l’âge adulte à un diabète de type 1 auto-immun : le diabète de type 1 lent ou diabète LADA. Dans l’UKPDS, qui concerne les diabétique de type 2, environ 10% des diabètes découverts et classés comme diabète de type 2 seraient en réalité des diabètes de type 1 lents, lorsque la disparition de l’insulinosécrétion n’est pas brutale et immédiate comme souvent chez l’enfant mais plutôt progressive, due à une destruction plus lente des cellules bêta et donc une disparition graduelle de l’insulinosécrétion.
De « faux » diabétiques de type 2
Publié le 15/05/2009
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Source : Le Généraliste: 2489
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