PARIS
Il appartient à la jeune génération de peintres français qui s’inspirent du quotidien le plus banal et trivial. David Lefebvre, dans ses huiles sur toile, reproduit le monde qui l’entoure (paysages urbains, forêts, personnages…) au moyen d’une technique très éprouvée. Fausse maladresse, aspect parfois inachevé, coulures, délicats camaïeux, sont les caractéristiques de cette peinture très prometteuse.
Galerie Zürcher (56, rue Chapon, 3 e, tél. 01.42.72.82.20), jusqu’au 25 octobre.
Parcours des mondes
La huitième édition du Salon international des arts premiers se déroule dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés. Une soixantaine de galeries internationales, spécialisées dans les arts d’Afrique, d’Asie, d’Océanie et des Amériques, s’installent chez leurs confrères parisiens et présentent des pièces artistiques et ethnographiques de grande qualité. Une exposition à la Monnaie de Paris (tél. 01.40.46.56.66, jusqu’au 18 octobre) rendra cette année hommage aux marchands d’arts premiers.
Du 9 au 13 septembre, www.parcours-des-mondes.com.
NÎMES
Valérie Favre
L’artiste d’origine suisse Valérie Favre, qui vit et travaille aujourd’hui à Berlin, tisse des histoires sur sa toile depuis une quinzaine d’années. Elle expose actuellement 70 uvres, peintures à l’huile, dessins, collages. Contes absurdes, fantaisistes et poétiques, teintés de surréalisme et d’étrangeté, les toiles de Valérie Favre mettent en scène des animaux (notamment la « lapine », figure phare de l’uvre), s’inspirent fréquemment du thème aérien (« Exercice de vol avec une cigogne », « la Chute d’Icare ») et reposent sur une mythologie étrange et obsessionnelle.
Carré d’art-Musée d’art contemporain (place de la Maison Carrée, tél. 04.66.76.35.70), jusqu’au 20 septembre.
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