Dans les coulisses de l'HAD
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Comment vivent les patients pris en charge dans le cadre de l'hospitalisation à domicile ? Comment sont organisés les soins ? Pour le découvrir, le « Quotidien » a suivi une équipe de l'AP-HP sur le terrain. Reportage.

Un personnel très impliqué
L’infirmier en HAD fait des soins très variés. Il est également parfois amené à faire le pilulier de la semaine.
Crédit photo : S. Toubon

Réserve de médicaments
L’aile comprend une pharmacie. Chaque infirmier, avant de partir en tournée, fait le plein des médicaments dont il aura besoin au domicile des patients.
Crédit photo : S. Toubon

Certains patients en fin de vie ont opté pour la HAD afin de mourir chez eux, aux côtés de leur famille. C’est le cas de cet homme atteint d’une SLA.

Des contraintes d'installation
Quand l’hôpital débarque au domicile, il faut souvent réaménager une pièce pour entreposer le lit médicalisé et le matériel. La HAD coordonne directement tous les prestataires.
Crédit photo : S. Toubon

Plus de 20% de post-partum pathologique
Les soins palliatifs représentent 8% des séjours en HAD de l’AP-HP. Les post-partum pathologiques, les chimiothérapies et les pansements complexes représentent la moitié des séjours.
Crédit photo : S. Toubon

Une relation professionnel-patient qui évolue
Au domicile, le patient est dans son univers. Le rapport de force entre le professionnel de santé et le malade s’inverse parfois.
Crédit photo : S. Toubon

Moyenne d'âge : 68 ans pour les adultes
Les patients adultes de la HAD de l’AP-HP ont en moyenne 68 ans. Les enfants, 3 ans. Les femmes suivies en obstétrique, 33 ans.
Crédit photo : S. Toubon

754 patients par jour
Être infirmier en HAD, c’est passer le tiers de sa journée au volant. La HAD de l’AP-HP prend en charge 754 patients par jour. Elle dessert Paris et la petite couronne.
Crédit photo : S. Toubon

Une base arrière
L’hôpital de la Pitié-Salpêtrière met à disposition un bâtiment pour l’unité de HAD adulte qui dessert le sud est parisien. Aucun patient n’y pénètre jamais : de cette base arrière est gérée toute la logistique.
Crédit photo : S. Toubon

Dans l'intimité des familles
" Parfois, on me considère comme un membre de la famille à part entière ». Travailler en HAD, c’est pénétrer au cœur de l’intimité des familles.
Crédit photo : S. Toubon