Abordant le coût social de la douleur, le Pr Serge Perrot a noté : « Les mentalités évoluent clairement dans le bon sens, notamment sous l’impulsion des jeunes générations de médecins. De même, le passage des recommandations de 3 à 4 g par jour comme dose de paracétamol chez les patients souffrent de douleurs de palier I et II témoigne d’une nette évolution de la conception même de ce qu’est la douleur. On est passé d’un symptôme accessoire à un authentique objet de soin ».
Prenant en compte les nouvelles exigences liées à la prise en charge de la douleur, l’évolution de la gamme Dafalgan® qui affiche désormais 14 références a pour objectif de simplifier la pratique des prescripteurs, généralistes et spécialistes qui souhaitent individualiser des doses et des formes adaptées à tous leurs patients.
présentation innovante
La marque UPSA a misé sur l’expertise galénique de son usine d’Agen, pour lancer un nouveau comprimé pelliculé Dafalgan® 1 g plus petit que l’ancienne formule. Destinée aux patients adultes et enfants de plus de 50 kg, la nouvelle innovation de la gamme Dafalgan® est un comprimé pelliculé dont la taille est réduite de 10 % par rapport à l’ancienne formule grâce à la modification des excipients utilisés. La présentation masque l’amertume du paracétamol et elle permet d’optimiser la galénique en vue de l’observance, un paramètre important dans le contexte de la douleur chronique. Il est réservé à l’adulte et l’enfant de plus de 50 kg et il est nécessaire de toujours respecter un intervalle de quatre heures entre les prises.
Ainsi l’antalgie se décline dans une large palette : à chaque palier et indication, la gamme Dafalgan® et ses présentations, complétée par Skenan® et ActiSkenan® pour le palier III. De plus, dans le contexte de retrait du dextropropoxyfène, l’association paracétamol-codéine que propose Dafalgan® codéine est une solution alternative proposée par l’Affsaps.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature