Des études anglo-saxonnes ont démontré il y a quelques années que la délivrance régulière d’un conseil minimal autour du tabac par le médecin était suivie d’un arrêt du tabac chez 5 % des fumeurs dans l’année. Ce conseil minimal peut consister à simplement demander à chaque consultation si le patient fume toujours, s’il envisage un sevrage ou s’il a essayé de réduire sa consommation. Ce conseil doit éviter toute culpabilisation ou jugement de valeur pour ne pas altérer la qualité de la relation médecin-patient et laisser au patient l’initiative du moment du sevrage tabagique.
Conseil minimal
Publié le 04/02/2011
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature