Faisant depuis de nombreuses années l’objet d’expérimentations multiples, la télémédecine était devenue un concept attrape-tout dans lequel on intégrait toutes sortes de pratiques dès lors qu’elles empruntaient le biais de la technologie pour effectuer des transactions distantes. Le décret d’octobre 2011 vient limiter son champ d’action en y apportant une définition positive. Cette pratique se décline en différents domaines précis. La téléconsultation en est un, et consiste en une consultation à distance par un professionnel médical, avec ou sans la présence d’un professionnel de santé auprès du patient ; quant à la téléexpertise, elle permet de solliciter à distance un avis d’un autre professionnel de santé du fait de sa formation ou de ses compétences particulières. De son côté, la télésurveillance médicale offre la possibilité à un professionnel médical d’interpréter à distance les données nécessaires au suivi médical d’un patient ; le cas échéant, de prendre des décisions inhérentes à la prise en charge de la personne souffrante ; quid de la téléassistance médicale ? Elle permet à un professionnel de santé d’assister à distance un homologue au cours de la réalisation d’un acte ; enfin, la réponse médicale donnée dans le cadre de la régulation médicale fait également partie de la télémédecine.
Cinq domaines de la télémédecine définis par le décret
Publié le 25/04/2011
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Source : Décision Santé: 274
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