À l’heure où 40 % des interventions se font en ambulatoire, taux qui devrait être porté à 50 % en 2016, il est fondamental d’en évaluer les échecs pour mieux les prévenir.
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Crédit photo : Phanie
À l’heure où 40 % des interventions se font en ambulatoire, taux qui devrait être porté à 50 % en 2016, il est fondamental d’en évaluer les échecs pour mieux les prévenir.
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