Deux nouveaux cas de chikungunya autochtone ont été découverts à Montpellier, après les cinq identifiés mi-octobre pour lesquels l’Agence régionale de santé (ARS) Languedoc-Roussillon avait été amené à conduire des investigations et enquêtes épidémiologiques. En particulier, « les informations recueillies auprès des médecins montpelliérains ont permis de détecter une dizaine de cas suspects de chikungunya », précise l’ARS. Seulement deux autres ont été confirmés portant à 7, le nombre de cas autochtones confirmés de Chikungunya dans le quartier de Las Sorbès, toutes les personnes infectées y habitant ou y ayant séjourné. La plupart des patients sont « guéris et en bonne santé ».
« Nous sommes donc en présence d’un seul foyer de cas montpelliérains car ne sont concernées que des personnes résidant ou ayant séjourné dans le quartier de Las Sorbès », souligne l’ARS qui précise que l’ensemble du quartier a été traité par des interventions successives de démoustication.
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