L'Office de protection contre les rayonnements ionisants (OPRI) tient à rectifier une information publiée dans « le Quotidien » du 26 avril à propos des suites de l'accident de Tchernobyl en France. Son président, Jean-François Lacronique, fait savoir « qu'en aucun cas, un porte-parole de l'OPRI n'a pu dire que"la radioactivité du césium 137 met trois ans à disparaître". C'est une absurdité. La radioactivité du césium 137 est tout à fait connue. La radioactivité disparaît, pour moitié, en trente ans et au bout de dix périodes (c'est-à-dire 300 ans) pour sa totalité ». L'OPRI souligne par ailleurs que la CRII-RAD, qui fait état de taux alarmants dans certaines régions, ne mesure la radioactivité que sur une certaine surface pour en déduire une contamination de surface.
Césium 137 : précision
Publié le 08/05/2001
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HASENDAHL Stphanie
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6913
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