Qu'ils aient été bombardés ou qu'ils craignent de l'être, plusieurs hôpitaux du nord-ouest de la Syrie ont été contraints de fermer ces derniers jours, totalement ou partiellement. Dénoncée par Médecins Sans Frontières, cette situation concerne la province d'Idleb, contrôlée en grande partie par des jihadistes de l'ex-branche d'Al-Qaïda en Syrie, et pilonnée depuis deux semaines par le régime syrien et son allié russe.
MSF en appelle au respect des engagements « pris lors de résolutions à l'assemblée des Nations unies et au Conseil de Sécurité ». Et met en garde : quand les hôpitaux ferment, tout le monde est impacté : « les malades, les blessés, les femmes enceintes, chaque personne qui aura besoin de soins médicaux ».
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