L'OBSERVATOIRE Ginkor sur la maladie veineuse avait pour objectif d'évaluer la perception qu'a le public de cette pathologie, cela afin d'améliorer l'information qui lui en est donnée à travers les médias et de permettre aux professionnels de santé de mieux comprendre ce que croient et savent leurs patients.
Cet observatoire est fondé sur l'analyse croisée d'une étude grand public réalisée par « opinionway » et portant sur 1 083 personnes et d'une étude réalisée auprès de 200 pharmaciens par « DirectResearch ».
On estime à 18 millions environ le nombre de personnes concernées par la maladie veineuse en France. C'est dire l'extrême fréquence de cette pathologie. Aussi rien d'étonnant que la majorité des Français en connaisse le principal symptôme, à savoir la sensation de jambes lourdes : face à cette gêne, 78 % évoquent une maladie veineuse, 21 % une fatigue musculaire. Très optimistes sur les connaissances de leurs clients, 85 % des pharmaciens croient que le public fait le lien entre jambes lourdes et insuffisance veineuse. Concernant les conséquences de la maladie, la situation est moins bonne : seulement 23 % des personnes interrogées sont convaincues qu'avoir les jambes lourdes les expose à un risque de complications ; 58 % supposent que cela pourrait être le cas ; et 18 % estiment qu'il n'y a aucun danger. Pour leur part, 87 % des pharmaciens jugent qu'il est nécessaire d'avertir les patients des risques encourus. Quatre-vingt-treize pour cent des Français évoquent spontanément les risques de varices et 85 % pensent que la phlébite peut aussi être une complication des jambes lourdes (ce qui n'est pas tout à fait exact). Quant aux ulcères, seule une personne sur trois sait qu'ils sont la conséquence de la maladie veineuse non traitée ; et les pharmaciens sont bien conscients de cette lacune (69 % déclarent que les Français ignorent ce lien).
La place des veinotoniques.
Côté thérapeutique, fort heureusement, 5 % seulement ont recours aux bains de pieds ! Quarante pour cent privilégient les bas de contention et 29 % considèrent les veinotoniques comme le meilleur traitement ; 26 % des pharmaciens préconisent en priorité cette thérapeutique et 58 % conseillent l'association veinotoniques et bas de contention ; 73 % des officinaux affirment que le soulagement rapide de la douleur est un critère déterminant dans le conseil d'un veinotonique ; et 73 % déclarent qu'ils continueront à conseiller ce type de médicament malgré le déremboursement qui, selon 63 % des pharmaciens interrogés, va diminuer la confiance des utilisateurs. En effet, 27 % des patients considèrent que déremboursement équivaut à inefficacité ; et 65 % pensent que, pour réaliser des économies, on leur fait prendre des risques.
Face à cette situation critique, les pharmaciens ont un rôle à jouer pour éviter une démédicalisation de l'insuffisance veineuse, pour orienter les patients qui en ont besoin vers le médecin, enfin pour éduquer le public et lui prodiguer les bons conseils (hygiène de vie, veinotonique, contention).
Conférence de presse organisée par Tonipharm (coexploitant de Ginkor Fort avec les Laboratoires Beaufour Ipsen).
Ginkor Fort, un antalgique veineux
A base d'extraits de Ginkgo biloba, Ginkor Fort inhibe localement au niveau de la veine différents médiateurs algogènes, enzymes lysosomiales et radicaux libres à l'origine de l'inflammation et de la dégradation des fibres de collagène. Ces médiateurs sont responsables de la sensation douloureuse de jambes lourdes, premier stade de l'insuffisance veineuse. La démonstration de cette inhibition permet d'expliquer le pouvoir antalgique de Ginkor. Celui-ci s'associe à une action veinotonique, avec augmentation de la résistance des vaisseaux et diminution de leur perméabilité.
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