« Tous les biens ne sont pas parisiens, lyonnais ou marseillais. » Le bémol est apporté par Annabelle Billy, de l’Anap, qui rappelle que « le patrimoine hospitalier est sur tout le territoire et n’est pas liquide partout ». Sans parler du dialogue avec certaines collectivités, pas toujours facile… La manager de l’Anap n’en rappelle pas moins que la première recommandation de l’agence est de « connaître son patrimoine et sa valeur, pour savoir ce que l’on peut en faire et à quoi cela peut servir ». Une cartographie nationale, réalisée avec la DGOS, va voir le jour au premier semestre 2012.
L’analyse est confortée par Benjamin Dubertret, directeur des fonds d’épargne de la Caisse des dépôts et des consignations (CDC), qui insiste sur l’importance de la valorisation du patrimoine, dans un contexte de rareté des financements publics, d’accès compliqué à la liquidité bancaire et d’endettement important du secteur hospitalier… Les partenariats public/privé sont aussi, selon lui, une solution qui mérite d’être étudiée.
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