« À court terme, la régulation prix-volume liée à la baisse des tarifs est très difficile à gérer. Mais le plus perturbant reste le manque de visibilité sur ces évolutions qui se font année après année. Mais, à terme, nous croyons que le régulateur ne pourra pas ignorer la qualité de soins proposés par les différents acteurs. On ne peut pas en rester au seul financement de l’activité avec la T2A. C’est pourquoi Capio a fait le pari de travailler en profondeur sur la qualité des prises en charge et sur l’efficacité de ses protocoles de prise en charge pour optimiser les parcours de soins. Nous obtenons des résultats spectaculaires, par exemple, avec la réalisation de 30 % de nos prothèses de hanche en ambulatoire. Et pour cette opération, notre temps moyen de séjour est de quatre jours contre sept jours en moyenne nationale. Ce n’est qu’un exemple des marges qui sont encore possibles de dégager au profit de tous, patients et collectivité compris. »
directeur général France du groupe de cliniques Capio.
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature