L’UFML (Union française pour une médecine libre) lance un « jour noir » le 18 février. L’organisation médicale entend ainsi alerter les pouvoirs publics sur la souffrance au travail ressentie par de nombreux médecins libéraux. Une souffrance insuffisamment entendue et reconnue, selon l’UFML.
53% des médecins seraient menacés
Un happening est prévu à Paris, et les médecins sont invités à voiler leur plaque d’un crêpe noir ce jour-là.
Un praticien s’est donné la mort encore tout récemment. « Il est plus que temps d’endiguer cette vague noire, nommer les causes, identifier les responsabilités et agir », déclare l’UFML, qui rappelle qu’en Ile-de-France, le burn out menace 53 % des médecins (d’après l’URML francilienne). En Champagne-Ardenne, ce taux s’élève à 42 % selon un sondage régional.
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