À la suite du suicide d’un pneumologue hospitalier de Nevers, les « pigeons » de l’Union française pour une médecine libre (UFML) demandent à Marisol Touraine la création « officielle et urgente » d’un groupe de travail « pour définir les causes et mettre en œuvre des axes de prévention ».
Après l’Ordre départemental de la Nièvre, le syndicat dénonce « l’absence de prise de position et du moindre message public de compassion, des autorités professionnelles, des autorités locales, régionales ou nationales ».
« La tristesse bien sûr, et la colère, encore et toujours la colère devant le nombre de médecins qui chaque année se donnent la mort. Rappelons que le suicide était chose rare chez les médecins, il y a quelques années, et aujourd’hui s’est banalisé ! », twittaient les pigeons le 29 avril.
L’UFML réclame aux tutelles la parution de statistiques « au plus vite ».
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