Longtemps considérés comme des lésions bénignes, les polypes hyperplasiques ne bénéficient aujourd’hui d’aucun suivi spécifique après ablation chirurgicale. Cependant, certains d’entre eux pourraient être des précurseurs de cancers colorectaux. Afin d’identifier ces lésions potentiellement à risque, Catherine Seva et Audrey Ferrand (équipe mixte Inserm / Université Toulouse III ) viennent de mettre au point un test prédictif basé sur la présence d’une protéine : la progastrine. Selon les chercheuses des taux élevés de progastrine seraient significativement corrélés à la survenue ultérieure de lésions précancéreuses.
Bon ou mauvais polypes ?
Publié le 23/03/2012
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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