Depuis quinze ans, l’association Bleu-blanc-cœur œuvre pour enrichir la teneur en oméga 3 d’aliments issus de la production agricole. Pour cela, elle introduit des sources naturelles d’oméga 3 dans l’alimentation des animaux, telles que le lin, la luzerne ou le colza. Les produits issus de ces élevages – œufs, lait, beurre et viande –ont donc un meilleur profil nutritionnel.
Cette réintroduction de cultures traditionnelles contribue aussi au respect de l’environnement. En 15 ans, la filière a permis d’éviter le rejet de 72 000 tonnes de CO2 et favorisé la biodiversité, avec 40 000 hectares de lin, qui viennent en substitution de 61 000 hectares de soja non importés.
Depuis 2000, Bleu-blanc-cœur revendique 4 000 tonnes d’oméga 3 supplémentaires consommés en France, avec 5 400 tonnes de graisses saturées en moins. Cela correspond à 2,8 millions de gélules d’oméga 3 !
Cette démarche réunit différents acteurs de la filière (distributeurs, producteurs, marques) et a été reconnue en 2013 pour son aspect nutritionnel et sa durabilité par la Direction générale de la santé (1)
D’après un dossier de Bleu-blanc-cœur
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