Les Français pensent, à 90 %, qu'avoir des surs et des frères (c'est le cas de 87 % d'entre eux) « a été ou aurait été une chance » dans leur enfance, selon un sondage Harris/SOS-Villages d'enfants-« le Parisien ». Plus de 2 sur 5 voient en leur sur ou leur frère « une personne à protéger » et 38,2 % « une personne indispensable à (leur) équilibre », tandis que 31,3 % parlent d'« un confident, d'un complice » et 25,3 % de leur « meilleur ami ». Seulement 5,3 % jugent qu'ils sont « une source à problèmes ». Plus d'un cinquième des sondés voient leurs soeurs et leurs frères « tous les jours ou presque », 19,5 % « une fois tous les 15 jours », 11,3 % « une fois par an » et 62,1 % affirment le ou les voir « aussi souvent » qu'ils le peuvent. « Entretenir de bonnes relations » avec sa fratrie est « primordial » pour 45,9 % et 92,7 % assurent faire « tout (leur) possible » pour qu'il en soit ainsi.
A la question « en tant que parents ou futurs parents, que souhaitez-vous que le lien familial apporte à vos enfants ? », 40,5 % citent en premier lieu « l'appartenance à une famille » et 32,7 %, « la certitude d'avoir toujours quelqu'un sur qui compter ».
Enfin, l'action d'associations qui permettent à des soeurs et à des frères séparés de leurs parents « de grandir ensemble dans un univers familial » est jugée « vitale pour leur épanouissement » par 40,1 %.
Avoir des surs et des frères, une « chance »
Publié le 11/11/2003
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7423
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