« Ce qu’on peut retenir des propositions santé des deux candidats, c’est qu’elles ne tiennent pas compte des gens qui travaillent sur le terrain, notamment pour le numerus clausus. Ils prônent son augmentation alors qu’aujourd’hui, dans les facultés, on déborde d’étudiants de la première à la dixième année. On a complètement saturé les capacités de formation. Il y a aussi des problèmes assez cruciaux sur la formation après l’internat. On sait qu’aujourd’hui dans plusieurs régions, qu’elles soient sous-dotées ou non, on constate des problèmes de financements des post-internats. Pour la politique de santé plus générale, globalement, si il n’y a pas une revalorisation certaine d’un bon nombre de spécialités, cela va conduire à une médecine à deux vitesses. Qu’il s’agisse du PS ou de l’UMP, cela ne change pas vraiment car les politiques de santé dans les deux cas divergent peu. »
« Arrêtez avec l’augmentation du numerus clausus ! » (François Petitpierre, président de l’ISNIH)
Publié le 22/04/2012
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Crédit photo : dr
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Source : Le Quotidien du Médecin: 20120422
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