Trois études marquantes pour Daflon 500 ont été présentées : L’étude DECIDE a été conduite par 1 500 médecins généralistes sur 13 000 patients susceptibles de souffrir d’une forme modérée de maladie veineuse. L’objectif a été de valider une grille de détection de la maladie et l’effet de plusieurs traitements veinotoniques. La sensibilité de la grille diagnostique était de 98 % et l’étude a montré que même à un stade peu évolué, la maladie veineuse a une répercussion négative souvent importante sur la qualité de vie. « La prise en charge par un phlébotonique de grade A permet l’amélioration des symptômes et des items de qualité de vie » a souligné le Dr Michèle Cazaubon (angiologue, Paris). Elle a indiqué que Daflon 500 a donné les meilleurs résultats même chez des patients qui bénéficiaient déjà d’une compression veineuse.
La toute première méta-analyse sur la réduction de l’œdème malléolaire a été présentée, seuls 10 essais menés avec 3 veinotoniques répondant aux critères rigoureux de la méthodologie (études randomisées, en double aveugle, versus placebo ou comparateur).
qualité de vie
Le Pr François- André Allaert (Dijon) a précisé : « Daflon réduit d’un centimètre de diamètre la circonférence de cheville chez 35 % des patients contre seulement 17 % avec l’extrait de ruscus et 13 % avec l’hydroxyethylrutoside et 2 % avec le placebo ». L’expert a insisté sur la gradation de la supériorité de l’efficacité de Daflon 500 comparativement aux autres veinotoniques. Enfin, l’étude SYNERGIEdémontre l’intérêt de DAFLON 500 en association à la sclérothérapie dans un travail sur 4000 patients recrutés par 525 spécialistes. Dans 65 %, l’indication de la sclérothérapie était l’existence de varices et 56,9 % la présence de télangiectasies. Le Dr Jean-Pierre Gobin (Lyon) a mis en exergue que SYNERGIE était un bon reflet de la pratique en sclérothérapie. L’effet anti-inflammatoire spécifique de la paroi veineuse de DAFLON 500, qui s’exerce sur les métallo-protéases, se traduit par une satisfaction des patients avec une réduction de 47 % des douleurs et une amélioration de 52 % de la sensation de jambes lourdes. « L’échelle de qualité de vie s’est améliorée dans les quatre secteurs psychologiques, physiques, sociales et sur les douleurs» a conclu le spécialiste.
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